Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( ·169 ) '-> ne parvieaclrez sûre~1ent à l'héritage ·éternel, '> qu'en prenant soin de notre tendre n1ère, J) qui est le seul bien .ffllÎ nous tienne encore >1 attachés à la terre, et en pratiquant à son " égard les vertus dont elle n'a cessé de nous n donner l'ex~n1ple. Je vous recon1n1ande à >J tous spéciale111ent n1es deux petits neveux. » Faites tout ce qui dépendra de vous pour ~J que ces tendres en fans ne soient pas privés » du don inestin1able de la foi, qu'il est à » craindre que l'on ne voie enlever à notre » 111.alheureuse patrie. » Je n1e recon1rnande _aux prières des fidèles .)> catholiques de Jussey ; je les ren1crcie de la » charité qu'ils n1'ont tén1oignée, et je les prie » de ne pas ahan.donner n1a frunille désolée. »Je den1ancle pardon à ma bonne inère de ,. tout ce qui aurait pu l'offenser en ruoi. » Je vous den1ande aussi pardon à vous tous , ~' chers frè1~es et sœurs, et n1e rccon11nande ~ >} vos prières, afin que si j'ai le bon beur de >' suivre 1nes vénérables con frèreF-dans le séjour » de la gloire, je puisse intercéder pour vous » auprès· de Dieu , par la n1édiatio11 de uof.re » Sauveur Jésus-Christ et de sa très-sa1nte n M.ère. Ainsi soit-il. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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