Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 16ï ) ·» quiliot, qui 011t conson1-rù·é leur course la )) seniaine dernierè, ·et ·sont allés rccc'\loÎr la » couronne du· n1artyre. Aussitôt qne je sat1ra'Î ·» quelque chose de positîf sur rnon affaire, je ~J vous en înstruirài. Ne vous inqtl'iétez d.e rie1i, ')) et jÙe c1~oyez pour la vie' n1on cher frère' n votre plus dév.oué, » l\iAR. TE LET, prêtre. >J Besançor~, le 4 fév.rier 1798 ». « 1\1a téridre n1ère, J> Me voici à 1·a veille-de conson1n1er n1on J) sacrifice, et de paroître au tribunal redou:.. » table de Dieu, pour lnî rendre con1pte de »> toute 111a vié. Qne·lque just.e ~1ue soit 'la cause '> pour laquelle je me suis efforcé de con1battre » pendant tou.s ces te·n1ps 111a.lhèureux, je ne )) tren1ble pas 111oins à la vue du co111pte ler:.. ·» rible que j'ai à . rendre des at11es qui n1' ont ~ » été confiées, aiusi que de . la n1ienne. Jieu– '>> reuseruent pour 11101, j'ai cette confiance que "' Dièu voudra bien oublier i11on incapacité à ·», ren1plir un aussi s11blin1e n1ini st{:1·e, pour .>, ne se souvenir que de ses infinies rniséri– »> cordes et n1e pardonner n1es péchés. je lui .,) rends dïrl1mortcHes actiorù; de g-rlu:es dé ce e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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