Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième
( 162 ) » don1icile, qui date de trois jo.u.~s~ V 0~1s ·n'en. ,1 serez sans doute pas plus étonnée que n1oi; ca 1 ~ » .ie ne croy~is pas .OO·l~ · plus devoir rn'attendre. >) · ~ . cette translatiou qui a eu lieu par le ten1ps-. >) le _plus fàcheux. Un gcndarn1e est venu m'a·. >~ vertir précisén1ent à six heures du matin, » pour qne je parlisse à sept. Heureusen1ent_ >.) j"étqis prévenu dès la veil.le .,; que n1a sœui .. 'J. Cécile étoit arrivée, sans quqi je serois parti '? ne rayant point vue. Il n'est pas n.éces§aire_ ~> que je vous dise combien ~lle fut affectée, >} lorsq~l ,OD fut <le ma part rinvitei., à n1e V~Î~ » par.tir. n Je rends gtàce au Seigneur, de ce qu'il. >;> .veut bien ~e placer dans le non1bre de ~en"t >l. c1ui sor~t. lJ'ouvés dignes d'être ~n.chaînés .e.I >,~ ~11è.n1.c de. n1ourir pour I.a défense de.la fiï>i.: >.>.. DeJJni:s n1a so1~t~e de. chez v9.us jusqu'à .pté~· . . )j sent' je n'ai cessé d'être à réco)e <le . toute~ » les vertus chrétiennes et sacerdotales. J'e$– ". pè~~e qüe. lè ri1èn1e Dieu qui.,a b:i'en vouJ~ sou– ~> · tcr~·ir nos vénérables. coilf~,ères dans. leurs . . ;) souffrances, ne n1'abal1donnera pas <lans les » n1iennes. Je nie sn is abâ.n:d.001né.. lt lui sans , l ' ' 1· .)J l,eservc; que sa vo o~:.ale s .;l(;C0111p :l.ss.e, ttl uon li la n1ieune ! • • • i e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)
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