Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 148 ) » presqu'au ten1ps d'une corruption générale, » suite fuuc~te de l'extinction <les vertus, et >J de ces n1œurs si pures dont la religion est » une source intarissable, t!t qui ont fait la " g!oi re de nos ancêtres........ Ce qu'i touche . » jusqu'aux larn1es, ce sont les périls auxquels » uotre jeunesse est exposée. Que deviendra )) resprit de la nation' lorsque ses enfans, li– ,, vrés de bonue heure à l'incrédulité et à la » licence, abj urerout, du 111oins dans leu1· >> cœnr, la foi et les vertus de leurs pères, et » qu'ils. n'uurout désorn1ais pour la servir, >: d'autre 111otif et d~aLttre aiguillon qu'un in– " térêt hasse111ent person11e], aussi éloigné du n citoyen que du héros n ! C'est encor~ avec le pl us grand zèle, tou– jours dicté par son ::n11onr pour le premier âge <le la vie, que ce digne ecclésiastique con1n1entoit et dévelop·poit les réflexions sui– vantes d'un 111ag!strat, savant littérateur et bon citoyen ! {( rJe cri de cette audacieuse u » pl1ilosophie ne s'est que trop fait 'entendre, » à la cour, b. la ville et dans les can1pagnes; >' il a releuti ju~qu'au fond.. _du royaun1e; il a » influé sur l'opinion des parens ....... Il faut >1 bie11 se garder de prendre le change sur le e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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