Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième
( 145 ) » dés comme indifférens aux succès des com.-. ·» bats; les travaux du n1inistère, les sacrifices }) des vierges, les larn1es des pénit.ens, n1éprisés ).> con1111e des inutilités pieuses; enfin la faci– )) lité d·es esprits à recevoir ces funestes im– )) pressions, doivent nous faire crain<lre une , n révolution dans la foi. Eloignez , grand )) Dieu, ce funeste présage , conservez ce dé– » pôt sacré dans ce royaun1e, que Ja pi été de · » ses rois, le zèle éclairé des pontifes , l' atta– » chement du peuple au culte de ses pères, .>> rendent encore une portion florissante de )> votre héritage : augn1entez dans tous les ~' fidèles l' an1our de la religion , fa iles gén1ir n l'i1npie sur ses excès, et que tous !es cœurs, >) réunis par la fqi dans le sein de votre Jtglise, . , - . » asp1re~t aux recon1penses promises aux vrais » adorateurs .». Quels traits lun1ineux il savoit tirer encore, pour inspirer une juste et salutaire frayeur à la jeunesse, naturellen1ent in1prévoyaute, et trop souvent au bord de l'abîn1e, quand elle s'en croit si loin ; quelle leçon frappante il recueilloit pqur elle, et lui présentoit dans ces autres paroles d'un orateur chrét ien, sur · la ton1be de l\t:me. Louise de France, la sœnt IV. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)
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