Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome quatrième

( 103 ) illis: Tristis est anima me.a usque ad mortem...•• Et progressus pusillùm, procidit in faciem suam , oran~ et dicens : Pater mi, si possihile est, transtJat à nie calix iste, verumtame11 non sicut ego volo, sed sicut tu...... lterùm secundo àbiit , et oravii, dicens: Pater mi, si non polesl hic calix transire, nisi bibam il,um, fiat voluntas tua. ~ . /terùm abiit, et oravit tertio, eum– dem serrnonem dicens. M:itth. c. x1v1, j. 37 et seq. )lonsieur Jn~N JACQUINOT, natif d'Eschenoz-la– Méline ou le ,,ert; vicaire successivement des pa– roisses de Fougerolles et de l\téliucourt, au dioc~se de Besan~on : fusillé dans cette ville, le 27 j•n•ier 1798. NÉ dans un village déjà célèbre par la nais– sance d'un autre confesseur de la foi, M. Jac– quinot reçut de bien bonne heure, des vertueux auteurs de ses jours , tous les principes d'une éducation chrétienne. 11 répondit si parfai– ten1ent à leurs tendres soins, il annonçoit de si heureuses dispositions, soit du côté du cœur, so~t du côté de l'esprit, que ses parens crurent seconder les vues de la Provide11ce sur cet enfan\. de bénédiction, en lui faisant con1mencer s~s e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (4)

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