Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome troisième

( 49) ~> n1ande· ·égalen1ent n1a très - chère n1ère; » qu'elle sache qu'elle 111' avoit élevé pour Dieu, n et non pas poui. .. elle ·: puis mon frère, mes ~} sœurs, ~eveux et nièces, et en général tous J>- n1es parens. Je les exhorte à vivre dans la J> plus grande union : que l'an1our des biens » terrestres ne leur fasse pas perdre les bien$ ,> de l'éternité" » J' oubliois de recon1nl.ander -celui qui a » été 111assacré pour 111oi. Que son an1e repose » en paix. Si l'on peut se rappeler ceux che~ » qui j'ai été le plus long-te·n1ps _, qu'ils _gar– ,, dent · le peu d'assignats qu'ils ont à n1oi : si » j' avois vécu, n1on intention étoit de "les ai– ;, der. Qu'on leur dotine, s'ils o·nt besoin : ils » n1'ont rendu de .grands services. Soyez tous >> forts dans ·la foi. Je n1eurs innocent; n1àis je >> meurs pour la religion catholique, apostoli~ .n que et ron1aine, dont j'ai été le ministre, >l qnoiqne j'en fusse très-indigne. J'aurois '' n1ille choses à dire, n1ais je n'ai pas le ten1ps. » Julien. G ·AUTIER, curé de Bruz. '> 14 juillet i794. )) Q·ue les jeunes gens soient tranquilles; UL 4 e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (3)

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