Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome troisième

( 5~t?. ' >J droit., le è~en1h;i cl~ l'ohéi~nc~, de.s re•. » nonce111ens, des h.urnilia~ion~, de~ aué~~1t~s~ . - ~> se:111cns. JI ti: bu le calice ·:bien an1er pou~ n h.eaucoup, avec un courage.· et une constance » <lui n1'étonnent tous les j~urs davant;igc. Je , . t ' l' , 1 d' d >• n a1 enu e1.1core a egai~u. . aucun . e n1e,& >> frères une conduite si sévère ~t . si sècl1e., e~ » toujours ils~ plaignoit à nlQÎ .que je le .tr~i-'7 »· · ~o.is con1n1e u.n lâche, que je ~e. n1én?g:eoi~ ,> plus que les. autres. J'~t~is e.nJl>arr~ssé p()u_r >> le n1ortifier, et. je · ~e . pouy~i~ y réu$~Îr~ n l\tI~is ce 1i'étoit point ch.ez. lni affectation ., » il ne savoit pas ce que c~est . . Oh ,! la: belle " a111e ! Je $UÎ.s }Jresqi,1e fàché de l'.av(>Îr con .~1u, ' ) car je n'et) -·regretterois pas la perte. Po.ur– n quoi ne n1.'~~t-il pas pern1is de vo~1s parle~ .. » de ~ui plus long-ten1ps; car ~~est la seul~ » consolati.on qui 111e . reste! 0 1110.n ·oieµ ·J >1 quelle .volonté il avoit de v9us airr1er, d~ )) . vous pl~\re ! quel désir aFdent Qe sou'ffr\r 1J peur vous! Eh! quoi souffrir? pouvoit-ilsouf– » frir davantage'! Le peu de n1ois qn'il a p;is– ·»· sés avec r1ous, ont été un n1artyre continuel, .J» i11ais un m~rtyre d'an19ur; car ]es souffran- .u ces lui paroissoient u.n jeu: L'hiver . avoi~ i> tellen1ent déchiré ses.111ains, qu'ell~s n.e fai- e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (3)

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