Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome troisième

( 504 ) 11 est puissante' et qu'il est intér~ssant de nè » poirii lui résister; car je ne puis croire autre » chose, sinon que Dieu récompense déjà cette » an1e de la plénitude de son sac·rifice; car; . . » pour le dire en vérité, il a été entier, ..et, » en venant se mettre entre mes n1ains, il s'y ;,1 est 1nis comme u~ petit n1orceau de cire :..~ ~T~ \)He ' à laquelle je donnerOÎS te}Je forme ~; que je · voudrois. J'ain1e cet aimable novicè )l plus· q'ue n1oi-111ên1e' il va 1 nous· deva~cer » · tOUS, et ce} Ul cplÎ est le dernier ·parn1~ DOUS; » va être à la tête de tous, et ·aucùn de nous » ne pourra le suivre. If n1'est i111possible, )> n ~nya.nt que peu lle n1inutes ~ n1oi, d'entrer » dans· un détail .-qui vous enchanteroit-, et }) qui vous feroit' connoître dans ce cher frère » Augustin (c'est son no111) ce que c'est que )J vraie hu1nilité, simplicité, obéissance, tou• >> tes vertus qui le caractérisent, et qu'il ac– J> con1pagne d'un certain air de · vivacité qui » donne à ces vertus un nouveau relief. Je » suis à vous, en Jésus-Christ, >) Votre très-indigne serviteur_, paùvre frère, )) JEAN-BAPTISTE' péclzeur )J. I-4es VQes de Dieu sont impénétrables. C"est e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (3)

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