Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome troisième
( 5o3 ) ~ p'.eu rien vair .; on eût dit qu'il ne $-'en do~ >? toit pas lui-n1ême. Il persévéra long-temps ' ' ·dans le. n1ême travail, e~ se cot;it.enta de " m~ répondre à la fin, lorsque j~ luj de– ~> mandai con1nient il ·alloit, et QÙ e~ étoit " le courag~ :. Oh! tout va bien, qu~nd Dieu )}, n1e soutient. J'attends tout de Dieu et de ' . . . . . . . . >> .vos prières. C·ctt~ . épreuve a C\uré. çe jour » et les suivans, ~vec la n1.ênl.e . fid.~lit_é, aveq >~ . la même g.ënéro~ i.té de s~ p~rt. Il étonn~ · ~> tous ceux qui l'ont coq nu à "\Vinchest~r, e\ n il m .'éton.ne n1oi-rnê1ne; car je suis encore >~ à connoître 9ù il peut tro~ver le~ fo.rces )? .pour s~ute~.~r t~u1t d~ f~tigues, de jeûnes, n d~ ve.ilJes , de tr~vaux , un ch~ur très.. long, ».des disci pli.nes, des hun1iliatiQns ~rès-fré» quentes; 011 ~iroit qu~ toµt cel~ p 7 est rien » p9ur lui. J~ Jl~ sais ce q~u~ cela .veut dire, >J niais il ~:ne paroît que le dojgi cle Dieu est )> ici, q~1'il veµt f~irt! qpelque chose de cette -~> a.n1e, et q~'il ~~mande d'~llc ~pe perfection ,,. 11011 con1 n1un~. Il ne peut, dit - il, fà·ire l~ connoil r~ ~oil bonµeur, il est au-de~su~ de . . . . » toute expression. Il fai l tout gahnent, et " avec un certain a~r d' an1abilité qui 111' enchante ·J.~ et 1,11e r~vit. Oh!_ Monsieur, que J~ grâce e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (3)
Made with FlippingBook
RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=