Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome troisième

( 501 } " c~té ! .... Combien je c~ ..ains que les faux ju-! n ge.n1ens des hon1mes ne soient pour n1oi, au » gr~nd jour des justices, un sujet de plus de » conda1nnatiort ! J'ai pensé vous faire part » de mes n1isères; n1ais je n1'aperçois que )) l'orgueil se glisse jusque dans les aveux les » plus hun1ilians: je n1e contente de vous as– >) surer qu'elles sontgrandeset bien 111 ultipliées~ » que, par conséquent, j'ai le plus grand besoin » de prières. Que les vôtres, par leur ferveur, n m'obtiennent de Dieu ce que la tiédeur et » l'imperfection des n1iennes l'en11)êch.ent de » m'accorder, la g_râce d'une prornpte.et entière • » conversion ». Les pensées et les pieux sen.tin1e1is qui rein~ plissent cette lettre sont déj.à bien capables de oous fajre apprécier quel&· précieux avantages avoit eu pour les habitans de la retraite de vVinchester, le sôjour qu'y avoit f.ait rl'.I. _Au– vray. l\~(ais aussi quelle in1pression heureuse ne porta-t -il po1nt da ns l'esprit et dans le ca:-·ur <les fervens cénobites de Ja Trappe I Que l'on, en juge par la lettre suivante de don1 J can– Baptiste, alors supérieur cle la non,~ e1le 'l 1 h c~ baïde, et adressée à celui-13 n1ên1e qni avoit ·facilité l'entrée du vertueux prêtre à la 'l,rappeû. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (3)

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