Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome troisième

( 495 ) jan1ais qu'àpi~ès s'être ex<dté à 1a contrition de -ses· fautes et ·en avoir de1uandé le pardon au · Seigtieur; 4°. de. parler · peu; <J't!couter avec n1odestie·, de répùlidre ·sans :partiali.té , de s'é– noncer envers tous, et soi-tout envers ses an-· ciens, avec fléférence, ·er.<le se mohtrer plein · de con1pla1sance et de .cordialité;· 5°.~ · àe ne · Pelever 'jan1a.ÏS les défauts de quÎ que · êè· S·tiit, de 1ie s'en occu.per que pour les· excUsef'; ~l encore lorsque ces <léfa.uts soi•t ·. r~els, · so11t n1ê1ne indnhitall1fls ·; 6° •: de· ne fai11e de :Féme·.à: personne, rle so11trrir to-ùt de là part des a.utres· Sans SC plaÏilcl·re ., d.e lllOntter envers ·eHX Uri·e prévcnau<::e continuelle ; 7° ., de ne ·point s'·ex– cuser, lors n1ême ·qtte. l'oi:~ est -ittn(>eëtit, ·sur_., tout de ne point s'entl'efenir · intérieurènleh(· de sa p.rétendue justièe; de s'appliquer plutôtl à. den1and.~r pardon au Tout-Puis~~nl de· ses. in1pet'fect.ions ·et de ses f autes jou1~tialières, · mais snrtout .des chtitë s de· sa vie passé~; ·8f):. de 111or1.i fier ses sens, sa vùé, sa Jai1gue, soti goût,: et surtout sa voI-0·nté propre; et le faii·e jout'--: nellen1e11 t. "J ;les · tr'àvatix de l\f. Auvray lui · ocèa~o•ère:rit une 1nala~ie gi'ave, très-·1ot1gtiè) ef d:on t les sui tés épùisèrent sa santé. A-nii.. de1à· e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (3)

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