Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome troisième

( 1I5 ) cence effrénée; pourstlivant, pour la préten• due gloire d'une égalité chirnérique, les no... hies, les prêtres et les propriétaires .. Ce dé· parten1ent s'honore d'avoir eu un grand no111-– h1:.e de sujets fldèlês à rautel et au trône' ainsi qué de s'être n1ontré l'asile de beaucoup de prêtres vertueux, éclairés, et de vénérables pasteurs inviolablen1ent attachés aux saines doctrines. Aussi) dès que l'on vit paroître' en 1790, la constitution prétendue civile du clergé, un cri d'inàignation et d'horreur s:y n1anifesta parn1i les ecclésiastiques. T_Je cha– pitre et toutes les corporations religieuses s'en1pressèrent de n1anifester leur vœu, et de protester contre les principe~ dangereux qui attaquoient l'église gallicane dans sa morale, dans sa discipline, et dans ses antiq.ues et vé.– nérables n1axin1es. Ces protestations furent in1prin1ées à Roine en i 791 , con1n-1e uri n10- nu1nent de r~.ttache1nent inébranlable du dé– parten1erit à la foi de ses pères. Il possé– doit u11e· n1ultitude de nlinisttes sacrés, qui, après avoir pris lés grades de bachelier et de docteur tlans l'université de Perpignan, ré– pandoient en tous lieux la bonne odeur cle Jésus-Christ; faisant aimer la teligio11 par e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (3)

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