Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( 4-14 ) l> trer dans la foi qu'il a abar;idonnée; que le » Dieu des n1iséricordes recevra son 1~epentir, 1> s'il est sincère .. Ne n1'ouh'liez pas auprès de » Thérèse Arsan ( 1) et de tous mes parens » quelconques. J'ai den1andé et je den1ande )) encore_, avec autant de ferveur qu'il n1' est )> possible, leur retour au sein de l'Eglise. » Je ne saurois vous peindre . en ter111es as– )) sez forts les n1arques d' an1itié et de ten– >' dresse que m'ont données n1es cousins et » cousines ,Bourdol et Valentin , tant par l'a– )) hondance, ou , pour mieux dire, la profu– » sion de n1ets délicats qu'ils nous ont procu– '> rés, que par les visites fréquentes qu'ils >> nous ont faites. Ils n9us ont servi con1n1e » une sec0nde mère. Votre tendresse dictera >' la réponse que vous devez faire. ~' Signé, N .-A. D1nELOT, 'Vicaire de » Re1niren;zont >) • Nous avons laissé nos vertueux co11fesseurs offrant ·à Dieu le sacrifice de leur vie, dans l'·après-n1idi du 1 o juin ,. cité plus haut. Vers (1) Thérèse Arsan, l'une de ses cousines, d('nt quel– ques pare-ns étoient favorables à la révolution. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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