Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( 442 ) » n1ande l'oubli de toutes le~ fautes qu'il a » éon1n1ises en~ers vous depuis son enfance. » Je q t1i tte la "h-~ avec une vraie joie, pour )> avoir confessé la foi de Jésus-C:hrist devant >' les· ho11.Jn1cs. Dieu rne fait des grâces pour » Jc~quelles je ne saurois assez le ren1trcier. )> .J'ai la pl us grande confiance que vous ne ~ regretterez pas i11on bonheur, que les horn- . . ' . >l n1es ne sauro1ent assez apprec1er, en vous » laissar1t aller à une <louleur trop grande. » Payez, je ~e veux, à la nature, le triLut <JUe l> réclan-ient les liens dn sang, et soyez pcr– » suadée .que je ne vons oublierai pas auprès >> de n1ou Dieu. l_,à dernière ehose que je vous » de1nande ·est que voos soyez bonne catho– " li que, et C[U~ vous ne voyiez e11 tout que ï> Dieu seul ( 1 ) • " Adieu , (~hristine ( 2), continuez à n1on– )> trer le n1ên1e courage, à confesser la foi de r 1) Mme. Didelot, ala rn1ée des ~uites <le Ja révolution, se laissoit aller à de gran<lcs inquiétudes. Ce fils ré~igné la prie cJ"avoir plus de courage, de supporter ses peines èn chré1ienne, et de ne plus voir les choses qu't:n Dieu. (~) Christine, son unique sœnr, fille d'une grande • r • pie te. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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