Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( 459) )> qui tne concernoit, devient ponr nioi une >J obligation étroite de répondre à vos bontés >1 et à la sensihiiité que vous n1e tén1oig11ez. Si ,> la crise que uous venous d'éprouver vou~ '> a enlevé i1os corps, elle vous laisse no5 » esprits et nos cœurs pour vos iutérêts les " plus chers. (J1aque jour je sollicit~ la di– )) vine Providence cle répandre sur vons cette n douce consolation, et de vous récon1pen– » ser au centuple pour les épreuves où l'on >> vous 1net, et dont votre foi vons fait si " bien profiter. Vous désirez saus doute con– » uoître notre situation ». Il raconte ensuite. ce que nous avons énoncé ci-dessus, les cir– constances de l'arrestation, les diverses _ap– paritions des accusés devant les autorités constituées; puis il continue dans ces ter– mes : u Nous n'avons qu'à. nous fé1it:iter de }) la n1anière dont notre geolier nous a trai– >J tés, de l'abondance des mets qu'on appor– )) toit chez h.â pour nous , et de la sensibi– '> lité one ron nous a. n1ontrée. I ... e len<le1nain . t ' ..,. . . . » nous avons con1paru a '1utcrrogato1re pu- .>> }Jlic, où nous avons en le hon benr de f~âre » 11otre profession de foi, c.lout l'"eff~t a causé )) un attendrissement daus un t;;Tand no111hr~ e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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