Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( 582 ) 1> licité , allons , point de faiblesse ; faisons le » sacrifice sans retour et sans réserve ». Et la ·.résignatio11, l'abandon aux volon.tés cl.iviues, et la paix de .l' an1e couronnent so11 tlouloureu:x sacrifice. NoliLe timere eos qui occidunt corpus, animam au- tena. non possunt occidere; sed potiùs timete eztm quipo· test <.:t anùnam et corpus perdere in Gehe1uzan2 ..• Omnis ergo qui confitehitur me coram lionlinibus, con.fitehor et ego eum coram patre meo qui in cœlis 1:st. Qui au– tenz 12egn,1erit nie cora111 honiinibus, negabo et ego ei11n corani palre meo qui in cœlis est. 1\tJatth. c. x • .Monsieur Lou1s•JOSEPH-l"nÊononE ROCH, de Proven· chères-en-Montagne, Yicaire de ]a paroisse de Jou– veUc, clans le diocèse de Besan~on; guillotiné à Be– sançon, le 4 ou 5 mai 1794. MoNSIEUH l.1ouis - Joseph -1.'héodore RocH, après de fort bonnes études, et dont le mérite s..accroissoit par uu.e piété solide qui l'avoit distingué, dès ses pre1nières années, dans le d . ' d B ' . ' l' ' toccse e esançon, eto1t parvenu a age ù' environ t1,ente- c1uatre ans. Doué d'un zèle e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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