Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( .25 ) » en disposent comme leu.r vigilante sollici– >) tudc leur suggérera. Oui, ô église tte Tou-.. >> Ion , n1a véritable mère, je te laisse tous .H n1es biens présens et à venir, et je te recom– » n1ande le soin de mes parens : c'est ici la )) dernière disposition d'un de tes membres n n1ourant, en faveur d'une n1ère dans le sein >J d.e laquelle il va expirer. n Et vous , vénérable église de Grenoh~e, ' 'd.fi , ' '> vous n1 avez e I i e par vos vertus, vous n1 a- )> vez encouragé par vos exen1ples, vous i11e » soutenez par vos prières. Puissé-je vous glo– " rifier par i11a n1ort. Ainsi soit-il. )) Je sen.s les difficultés qu'opposent les cir– » constances actuelles à la destination que j_e .» fais de n1es biens; n1ais con1111e rien n'est » fixe sur la terre , je fais cette disposition » pour le ten1ps où la justice régnera dans » n1a 111alheureuse patrie. Je me rappelle d'a– » voir fait un testa111ent contraire s ces der– )) nières résolutions, n1ais je le révoque au– » tant que je le puis. ' ' Des basses-fosses de la Conciergerie de » Grenoble, le 25 juin 1794, J.-B.-1\f. Guil– » .labert, prêtre du diocèse de Toulon 1 natif e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)