Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( 2!21 ) d:e départe.metlt, elle ne possédoit pas dans· son sein les coryphées des jacobins du t"ot, qui exerçoient dans Cahors leur affreuse ty-. rannie. Le district de i\1ontauban avoit aussi ses révolutionnaire~; · ils étoie11t, con1n1e ail– leurs·, acharnés à poursuivre ces innocentes. victin1es ' qualifiées par eux de rodieux ti-. tre de soutiens du fanatisn1.e : néan111oins peu; de prêtres y furent arrêtés : pa.rn1i ceux-ci, quelques-uns sont n1orts en déportation ou en réclusion; nous ]es unirons, dans la der-. nière partie de notre ouvrage , aux ecclé~. siastiques du diocèse de Cahors, parce qu~à cette époque ils faisaient cause con1mune· avec eux. Nous n'avons à présenter rien de bien assuré que sur la n1ort du vénérable évêque de cette église, qui donna un si glorieux exemple à tout son diocèse. M. [,etonnelier 'de Breteuil étoit un pontife distingué par son ad1ni rab]e charité. Il en1 ployoit, chaque année, trent.e n1i1le f1·ancs e.11 aun1ùnes' et encore la plus graude partie de ces· dons de1neuroient ensevelis dans uu secret profond, parce qu'ils étoient adressés à des personn.es dont on ignoroit l'in fi.)rtune. Dans la .suite on. trouva.' sur la liste de ses pension-- e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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