Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( 207 ) >J choit? S'il ,recom111andoit . la pauvreté, .·n'é– " to.it- il pas le plus pauvre de tous les hon1mes? >.) .Quel hon1n1e·fut jan1ais:plus doux, plus tnor.. )) tifié, -plus . hün1ble, plus ~oun1is aux lois?.. » Qui a jan1ais pratiqué plµs de· vertu avec._ » tant .de génie, · t~nt ·de -.philo.sophie? enfip, }) par son n1êrite, il n1éritoit .d.'être l~ pren1ier · » sans-culotte n.• ~ L'accusé. : << Je . p1·ie Dieµ. de. te ·pardonner » ton blasphênTe ». ; » Alot's de viole1l5 éclats·de rire s'élevèreut . .:· . . . . . . d.ans la salle, et le. président dit à l\'.I. l\fichel : c< . Je gage que tu étoîs un des chefs ·de la Ven .. >) clée, car il y avoit à la tête de ces:. brig ~n.ds n ~un prêt.re q-u.i se non1n1oit 1'-'.Iiche), ,_et tu _sais , ' , . , l >~ que .cette arn1ee n eto 1 t co:1:n.posee . que . c • )J prêtres' qui proniettoient an . peuple <Je le .u ressuscit~r - d~r~s · trois _·j_ours. :Ne serait-cc " p as toi » ~ . . L' acc':'sé. cc Je n1e co·ntci1te die'. g~n1îr Sµr le,s J-> n1a·ux de ma patt~ie, quej 'a.ir~ 1.~ et qne j~ plai~is, )) et cc n' es.t pas notre place de li<JUS .111ootrer }) à la tête des ar1uées; , i11ais v9us .avez . vot~lu J) ' détruire la religion, ct1 c.:herchaut à in1pulex u des crin1es à ses vérital)les .111inistres, et ~n ' >J ne cessant de les cal~11Jnie~·-.. En ~opposant. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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