Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( 205 ) /i) apôtres <JUC le sal)bat étoit pour l'homme, et » 11011 l'hon1n1e pour le sabbat? Ne per111it-il » pas à ses disciples, un jour de sabbat, de pré– )) pa.rct des épis pour les manger? ~e leu1~ re-– S> co111mandoit-il pas l'oJJéissànce aux lois? Ne >> leur disoit-il pas : Rendez à César ce qui est )) à c:ésar? et ne sen1l>loit-il pas leur dire : ,,, Con1n1encez à obéir aux lois, et ensuite ren• ->> dez à Dieu ce qui lui est dû. Ce que je te dis ->> est dans l'Evangile, que vous regardez comn1è " un livre sacté )) ? R. c< '\tous me paroissez, cito_yen , très– ~ instruit de l'Ecriture sainte; mais vous sa– » vez que nous regardons les actes des apô..;. ~) tres con1n1e faisant partie de nos livres saints; ~> et qu'après que les sénateurs et les docteurs ;) de la loi eurent défendu à saint Piei;rc et à ,, sair1t Jean de parle1" de Jésus, saint Pierre ).} répoüdit: Est-il juste de vous obéir plutôt ,, qu'à Dieu 1 ! Vous trouverez cela a.u chapitre )) quatre, verset clix-ncuf )) . Alors le président dit à l'accusateur: cc Ci– }> toyeu, aln·égeons une discussion déjà trop » longue. L"accnsé est convaincu d'être réfrac- • \ J l . ·1 , . J NT )> taire a a ·01, 1, rner1te a 111ort. - ·on, >) répandit l'accusateur, il faut În>truire le peu- e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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