Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( 205) D. « Les cônnois-tu ces maisons ·où tu· as » logé ,, ? R. « Je suis étranger, je ne connois pas la ~> ville ; et au surplus, je ne vous les no1nn1e- • » rois pas ». D. « Y a-t-il long-ten1ps que tu étois logé >> chez les de Vèze. »? R. cc Peu de jo11rs ». D. cc Non1n1e - nous les personnes qui te " fournissoie11t les inoyens de vivre sans rien » faire'! .... 'l,u ne veux doue pas ré1)011dre » ? R. « Non >l. » Alors un n1emhre du con1ité n1it entre les n1ains de !"accusateur public la n1ontre et le porte-feuille de I\f. 1\1.ichel. Dans ce porte-feuille il se trouvoit' avec deux cent soixante francs ' un petit billét qui contenoit des de111nndcs et des éclaircissemens que le prévenu avoit désirés. » l./ accusateùr lui dit : « Conn ois-tu cette » écriture ». ·{ · R. « Elie est de n1oi >>. D. c< Que contient cet écrit »? . R. « Des éc1aircissen1ens f{UÎ avoicnt. rap– » port à 111es fonctions ;,; • D. « (~uoi ! tu es donc bien 1uo<lcste; tu ne » te fiois i1as e)1tiùren1ent à tes lurnicres n? e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=