Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( II ~ _,,, que je ne dois jan1ais oublier ses bienfaits. ,, C'est à juste titre ·que j'accepte le calice ;du » Sa1tveur, et que j'invoque son saint nom. J> Oui , l11on Dieu, vous petn1 ettez que je vous ,, bénissè -en tout temps; vous vivez, et vous ête"s » digne de toute louange ; votre miséricorde ' ' s'étend ·de gén·éralio11 è11 génération ; vos '> paroles ont ·droit à la é1 .. oyancè la plus sou• ) > mise : jè vous· ~onsacre entièren1ent la » n1ienne.... Jé n1'hu1uilierai à la vue ·de vos » infinies perfections .... Que ne puis-je iex.– u prÎm'er n1es vœux, ô n1on Réden1pteur, de– » vant tout votre pellple catholique, afi11 » qu'aidé <le ses ·prières, je puisse chantèr ·vos " lo'tlànges au milieu ·de Jérusalem, votre cité )) sainie. Que d-e choses glorieuses J ô mon >> Dien, ne m'inspireriez -vous pas sur -erle. 1> Donnez-n1oi de plus eh plus le désir de la ')) voir .... Què tous itos frères :ex.altet1t avec • • » 11101 son stu:nt non1. » Je me ferai toujoürs un plaisir de vous » prouver l'amitié respectueuse que j'ai pour , n Vous, surtout quand il s'agi-r:i -de ine réunir » à la société qui vous écrit. I!J ·est avan1ageùx >> à'lix frères d'habite1• ensemble, àu tnoins en )) ·esprit ·et de cretH". Je VOU~ sa:tue ,et VOllS Cll1• e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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