Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( 10 ) ,. ce qu'il y a de catholiques, i11es très-sincères ,, con1plirnens. Fraternité, unité el indivisibi-– » Jité de foi, de sentin1ens et de charité. Fiat, ,, fiat. » J. Gu1LLABERT, prêtre) confesseur >) de Jésus-Christ ». Il écrit, dans u11e autre circonstance : c< Co111- » n1ent ne pas désirer qu.e notl'e Dieu soit )) exalté, lui qui prend soin de nous en tant ,, de 111anières, et qui do.nue à clracun la mesure » de fro111ent qui. lui est nécessaire! ..... Glori– » fions-le donc tous ensen1blc, et ne cessons de }) chanter ses n1iséric-0rdes. Vous le savez, il » fiiuts'aider mutuellen1ent pourtern1iner avec ' • . ' J' ' '> succes no ..re carr1cre..... espere que vous » ne m'oublierez pas, afin que je sois vain~ . » queur de tous 11Tes ennen1is. Je vous en1- )) brasse dans le baiser de la foi, une et indi– » visible ». « Très-cher ft·ère, 111and.e-t-il à l'un de ses >; antis, je vous crois trop attaché à la religion '>> pôur ·douter que nos avantages ne v-0us tien– .,, nent a.-u cœur.... Tout ce <JU:e je pu.is vous » clire sur ce qui n1e concern·e, c'est <iu'il ifll!C >) ·resté de grande·s grâces à rendre à Dieu;, €t e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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