Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( rag ) giè'nx clo1niuicains (le ''fon]onse, ·y frrit son noviciat, s'y livre à l'étude ·de la t h€ologie·, y prononce ses vœux ; et par .la· f~rvcur - ·sou– tenue de sa piété, p·ar le sérieu* :et · la gra'– vité de sa conduite' pat~: ~es progrès distin– :gués d :a.ns les ·sciences dîvine1,. i-i s'assm"e·.1'es– .ti111e do ses professeurs, .Fatlcctueuse cou– sidé!;ation de .Sei diflërens . chefs, .et ranu– tié, ·disons n1ên1e le respect ·;de tous ses con– disciples.. Il u'est donc pa~· étoQna.nt qu'aus– sitot après sa promotion au. sacerdoce , il oh– tin t la. pern1ission d 'aller passer plusieurs an:.. n.ées dans la con1n1unauté de la rue du Bac, à Paris. Cette 1T1aisou des don1inicai11s êtoit alors fort célèbre en. France, par sa grande régularité. l~ile voy.oit afllucr dans son seit1 le~ jeunes 6Js spirituels de saint :Oon1iuique) -qi.1i, :pai.. le d ésir <l:e ressusciter l'esprit de rad– :n1irable fondateur, vouloient se perfectionner daùs les pratic1ues anstè.res de -la vertu, dans )a· rigide observance de . Jeurs règles, et dans les scieùces ecclésiastiques. . .. En sortant de ceti:è e.spèée de sén1inaire, il fut, ponr la pre11lière· fois, résider à ·Cas·~ tres, dans ut~ couvent de son ordre. M. de Barral, : alors évê(lue de ·cette ville, juste ap- e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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