Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( 104 ) » leçon utile! Je recon1n1ande à l'aîné de gra– >' ver dans son cœur, et de transn1ettre à ses » frères, le dernier avis qu'il a reçu <le n1oî » v.erbalen1ent, le plus in1portant de tous ceux » que j'ai pu lui donner. . » Je ·voudrois poùvoir rappeler î~i tous ceux: >J l1 qui je tiens par les liens du sang e,t de l'a– » n1itié, Ott par les devoirs de l'attachen1ent .)) et de la reconnoissancc; vous serez ri ut.cr– )) rrète de IllCS sentin1ens, que VOUS connoÎs– )J sez, auprt.~s de ceux qu'il ne n1'est pas ·per– )) n1is de non1n1er. >l Je prie n1on arni ( 1) de lire dans mon cœur >) ce que je regrette faut de ne pouvoir 1ni ex- . '- )) ·pri1i1er. N on1111cr n1on an1i, c'est assez vous >> faire counoître à qui est dû ce t.it.re , qu'il }> possède depuis si long-ten1ps. Puisse une fa– J)" 111ille chérie ( 2) , qui fut p-our nous l'objet de ,; tant <le soins, recevoir aussi l'cx11rcssion de )) n1es tendres sentin1c11s ! Je n~ai ja1nais douté 1> de son attachcn1ent; je rcco111n1aude à son (1) 1"L Defresne, doyen, €t v1cn1r~ général de Luco11. ... ;, (2) Le pensionnat de: Lnçon, fornîé par les soins lle 1\1. de Beauregard; il étoil supérieur de cette maisoii. · · e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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