Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( ~o5 ) -,, voir l'exp1 1 ession de nia vénération, de 111a » reconnaissance; d'oublier les scanda1es que ' ' je leur ai donnés, et de se souvenir de 111oi .>J dans leurs. prières. » Je ne désire pas moi~1s d'être rappelé ~q » souvenir <le ces digues et véuéraLlt:!s confrè– '> res de 111a captivité (1 ). Je n1ets au rang des ' ' grâces I'iusf ruction et l'exe111ple que je trou~ » vai parn1i eux. J'espère de leur chal'ité, qui >> fut pour 111oi si indulgente, qu'ils voudront » J)ieu ne n1e pas oublier. » J'en1brasse ces chers enfans pour lesquels '> je partage avec vous les senti111ens de la plus » tendre an1itié. l\ia consolation étoit de les . " . ' . » voir croitre sous vos .yeux; et J a1 cette con- >> fiance· que la sen1encc que vous et leur ver– » tueuse n1ère (2) prenez soin de répandre " dans leurs cœurs, ne sera pas infructueuse. » Puisse 111a. situation deve11ir pour eux une (1) Les eccléswstiques reclus à Poitiers, avec lesquels l\'I. de Beauregard avoit été réuni pendant plusicur9 mois, avant sa translation aux prisons de 1a Concierge– rie , à Paris. ( 2) Anne - Julie Brumauld, sa sœur, veuve de J·.:-J.-A. Parcrlt de Curzon. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

RkJQdWJsaXNoZXIy NDM3MTc=