Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( 1 @-!' ) )) ponvoir exprin1er â tons n1es frères; clans » ces derniers n1on1ens. Vous savez con1bie1.t )) fut étroite l'an1itié qui nous unit; jan1a-is elie >J ne iouffrit la rnoindre altération : les liens }) que votti prttcs soin de forn1er pour votre » consoJation et notre houheur, · ne sont pas. » ron1pus. J'ai cette confiance, pl ns forte qne >' la n1ort; ils nous réuniront dans une n1eil– » leure vie. » Je ne sau1·ois assez rcco11no1tre les n1ar– )> qucs d'an1itié que je reçus de n1on frère » aîné dans tous les ten1ps, et lr.s f\acri fièes » qu'il fit au désir de vous .ètre utile et à nous >> tous. Je prie Dieu qu'il s~)it la récompense » de sa vertu, et qu'il conserve auprès de » vous votre consolateur et votre app_ui. >; Je prie l\fonfolou ( 1) de recevoir aussi » l'expression de nies te1idres sentin1ens et >' de n1a reconnoissance de tout ce que le zèle 1> et l'an1itié lui inspirèrent de faire · pout· >l n1oi. Je sens tout ce que son cœur soufl're de )> ce fjUC nous somn1cs JH'Ïvés de la consola– » tion d.e 11ous en1brasser·. ---- .. --~ ( r) lTn de ,e·s ffère;s (JUÎ habüoi t Pa.ris à la da te d~ , . ect etS.r1l; e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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