Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome second

( :l~O ) )) ôois ~. la«honté dc Dieu ce témoignase : <la11s \» les épreuves auxquelles il a pern1is que je >> fusse soun1is, j'ai. déjà .ressenti : les consolans » effets de son i ufaillîJJe parole. C' e~.t de vous ~) c1ue j'apptis ·h· la · co11noître; ·et, lor~quc je )) 1i1édite ce qüè1)r<:>:rnet à ceux qui ·scront j·ugéë ~) dignes de souffrir ·poùr 1 ui, celui q11î est la l> vérité,. la vie, je crois encore entendre <le >> votre bouche ces exhor'tatious toùchantes -)) .d,une n1ère de sept eu fans' qui' sacrifiant au . d <l . ] 1 • '" » pre1n1cr e ses evo1rs. ses p us .cucrs i11terels,. '" trausrnit il la postêrité l'exe111ple .le plus n1é~ )) n1orable de sa ten<lresse :et de sa foi. ·Je sens– ->l cette vertu pnissaute 111' élç;ver au-dessus de ,,. i11oi-n1ên1e, et, avec elle, la joie, Ja confia11l'..e »se ré1landre dans rnon a111e. Sile 111on1ent <lm. )) co111hat est si consolant, que sera-ce de la )) victoire'? Ne vous afll igez donc pas, oh l · la » plus tendre des 111ères, de la situation de vo– » tee fils : dans l'épreuve <l'un i110111ent, vous .>) voyez la voie qui conduit à la vie. Eh! que » sont toutes les tribulations : clu u1onde, en ' ' proportion de celle vîe t1ui n'aura pas de » lin? » Soyez, je vous prie, n1a_ chère honue )~ i11ère, l'intcrp1~~te de cc qHe je voudroi~ e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (2)

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