Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome premier

( 40 ) gnon (raconte ici l'historien du clergé françois à cette époque mémorable), fut le témoin forcé des hommages rendus au prêtre dont la vie et la mort étoient la condamnation la. plus écla– tante de la rebellion, du parjure et del'apos– tasie. Quelque temps après, un ordre momen– tané permit de décréter cent quatre de ces in– fâmes pat1·iotes, du nombre desquels étoient deux prêtres constitutionnels, l'un nommé Sa– bournin, et l'autre Barbe, curé intrus de lapa· roisse de la Magdelaine, a Avignon ; mais tous furent compris dans une amnistie générale, à l'époque de la réunion d'Avignon à la France; ils redevinrent même les tyrans de cette con– trée. Qui 1Joluerit animam s11am salvam jàcere , perdet eam : qui autem perdiderit animam suam propter m" et evangelium, salvamfaciet eam. Marc. vm. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (1)

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