Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome premier

>i défense. à des mains étraugi.~res, qui se Lles– Jl seraient ch la défendant ou <1ui la profane– " rai ent eu la modifiant au gré de sei; ::tllvcr– >J s.:ârcs. Nous, ses défenseurs naturels, nous >J allons la défondre avec impar{ialité et avec J>~èle. Comme ses ministres, sa cause est de– " venue la nôtre; elle en csl illséparabfo. l\ l1l1S 11 • l ·' 11 a110ns aussi par er pour nom;-rne rncs. 11 Quels crimes nous irnpule-t-on '{ 1i 1 °. D'avoir modifi é ou rétracté le serment >i de la cons titution civile 1Iu clergé; n 2''. De n'avoir pas p1·èté le se rment d'éga– ii lité et de liberté, ou d'avoir refusé de nous » soumettre à la loi qui l'on.lonne aux cccié– >1 siastiques; ii 5°. D'être rentrés en l"rauce ou d'y avoir '' demeuré, con tre la te11eur des lois qui nous » en cxcluoi cnt sous peine de la vie. ii Réponse première. Oui, no us avons mo– ,, difié ou rétracté le serment de Ja constitu– 'J tion pràendue civile du clergé ; l'Eglise, iu– " terprète infaillible de la vérité , la déclaroit >J schismatique, liérétique et impie ; elle y re– l' conn.oîssoit le principe et le suc de plus.ieur:; >J hérésies. Succus et congeries plurimamm ,, hillreseum. Il falloit doue, ou réyoqut:r le e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (1)

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