Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome premier

( 473 ) >J sainte, ministère auguste, sacerdoce divin, JJ tu u'es plus qu'un vil fanatisme; tu seras » dévouée au mépris, ~t l'opprobre, àl'iofa..., >J mi e . Dieu pnissaüt, qui règnes sur les peu– » pics, qui exiges les hommages des cœurs 'i ii en qni tout ce qui existe doit mettre sa fin,. JJ tu ne seras plus qu'un être hypothétique J> qu'on honorera par le sacrilége ·, qu'on res– >J pectera par le crime et l'impiété! 0 nation. » aveugle! ô peu.pie i~fidèle, race dénaturée,. >J tu as donc abandonné le Dieu qui t'a rache– " té, pour devenir idolâtre et adorer tes pro– >> pres forfaits ..•.. ? .Mais celui qui habite au " haut du ciel, et qui compte les crimes des >> enfans des hommes, tiendra-t-il éternelle– >> ment la main dans son sein? Ton crime n'a u rien qui l'égale dans l'histoire de l'infidélité ii des peuples, excepté, peut-être , le d c.;icide >J de~ Juifs. Lis donc, si tn peux, ta sentence >> dans la sienne, et vois dans son châtiment >> cdui qui t'est préparé : le glaive ....... , la » faim ..... , la mort. .... Eifrayé ..... , attcn- JJ dri .... . , pénétré, je souffre, je pleure, je »sens les maux de mes frères. Je vois la dé– u solatio.n de ma mère! Qui te consolera dans fn . . i i n· , 1> ton a 1ction. tes pasteurs... . 1sperses... , e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (1)

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