Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome premier

( 402 ) " réponses, je voulais, par une· croix) faire n comme une apostille il la réponse. L'huissier » ne me l'a pas permis. Je me suis borné à ,, écrire ceci : A répondu qu'il n'a pas besoin » de défenseur officieux pour cVfendre la cause >>de Dieu. >i Fr..-M. RÉVENJ1.s·, prÇtre, confesseur et >> prisonnier de Jésus- Christ, par sa >>grâce n. t< J'a<lresse cette déclaration à l'église de 11 Vienue, qui m'a fait l'honneur de m'adopter J! pour un <le ses enfaus ! et de me charger de » l'emploi de l'un de ses défenseurs, en m'ap– J> prouvant pour exercer l'auguste et redou- 1; table ministère de la dispcnsation des rn ys– " tères de Dieu : qu'elle veuille bien l'agréer, 1; comme un nouveau témoignage de mon n profowl respect, <le mon a1·dentc charité, ll et du désir que j'ai de l'illustrer par l'effusion J) de mon sang, etc. » Du vestibule d.u paradis,. attenant aux ca– n chots <le la Conciergerie cie Grenoble, l~ 1i seizième jour de notre position .si ravissante n aux yeux de la foi )) . Dans une leUre du 14 juin, l'homme de e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (1)

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