Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome premier

( 460 ) J> table qualité (j'observe que je n'ai jamais H dit que je n'étais pas prêtre), par raison de JJ prudence, j'ai 1'épondu, après la lecture du– >> dit intP.rrogatoire, que je n'avais point d'ob– >! seryation à faire, parce que je le regardais 1> con,1me ~tranger à ma cause principale. Par >l ces mots,. ma c(luse principale~ j'entendais >J l'aven formel cpie j'avois fait dans mon se– )) cond interrogatoire, de mes qualrtés de )J prêtre, de vicaire, de n1a rétractation de >> serment, de ma· rentrée en France, en fé– JJ vrier 1793, pour exercer mon ministère J>. Il poursuit ainsi l'ordre des questions et celui des réponses. cc Interrogé si. j'avais prêté le >> serment exigé des ecclésiastiques, en mars » 1793, et si j'étoisdansle dessein de le prêter. >> Réponse: Je prêterais encore moins. ce ser– >> ment que le premier, s'il était permis d'en >J prêter un des deux. - Interrogé si j'avois » choisi un défenseur ofiicicux? Réponse: Non, J> je n'en ai point choisi. -Si j'en connoissois >> quelqu'un'? Réponse: Non, je n'en connois »point. - Si je n'en voulais pas choisir un'? >J Réponse: Je n'en veux point. -On m'a dit » qu'on m'en donnerait und'office. Réponse: Je >i n'en ai pas besoin. -On m'aobjectéqnec'é- e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (1)

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