Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome premier

( 457 ) » nature, toujours ennemie de Ja croix ...... . » Le dixième jour de notre entrée dans le >1 vestibule du paradis )) . Dans une autre lettre .du 12 juin, le qua• torzième; ainsi qu'il le qualifie, des beaux jours de sa vie., il se rit innocemment des in– .commodités cruelles de son cachot, et adresse eette épître, garant certain de sa pieuse allé– gresse, à sa sœur en J ésus-Christ, Eulalie Amabert, qu'il dirigea comme un digne enfant de I'~gli se de Grenoble ..... r< Que ne dois-je l> pas, dit-il encore, à cette teudre mère, qui, ,i> .dès que je suis arrivé à Grenoble, m'a ..i comblé de marques d'affection ! Témoignez– )) lui-en ma reconnoissance, et dites-lui que » j'en· aurai un souvenir au-delà de cette vie. JJ Que ne <lois-je pas à l'estimable Angélique'! » que d'intérêt elle a pris à tout ce qui me re– l> garde! Que ne dois.,.je pas à la généreuse }) Eulalie ·1 Je rn'at'l'ête: je vous invite toutes » les t.roi s à prier pour moi et mou confrère, » et nous n'oublierons jamais nos chères sœurs i> en Jésus-Christ. l> F n. l\I. HEVEN AS, prêtre, confesseur et i> prisonnier de Jésus- Christ, bientôt l> marl:Jr par la gr/ice de Dieu )J. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (1)

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