Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome premier

( 278 ) clans Je" 'h0is du village de !'Hôpital, à trois rnt;on, et par deux charbonniers. figure angeliqne et sa jeunesse, (' . . impression sur ces malheu– •: ;:r- grande récompense, et la dénoncés' les empêchcrent 1.,._ .. , • :•• .: ~-·.,··'-•o:t;ence,aussifortequ'elle étoil iusinuante : C(' n'eH pas qu'il redoutât la mort , mais, ti<lHl~ Ji~ciple du Dieu-homme, il vouloiî pn:v.:: 1 iir un cri1r:e, et foire respecter le ~;:crcmcn t aug•1s:..; de l'E;:charistie, dont il étoil porteur; n•fanmoi ..s ~ fun d'eux parois– soit ebrnnlé' qua nd l'obstination de l'autre fit consommer L crime. Lorsque le prisonuier de Jésus-Christ entra dans Besançon, il n'y eut qu'un cri de dou– leur dans toute la ville; il intéressa ses juges, qu'il connoissoit particulièrement, et, le pour– ra-t-on croire, jusqu'aux jacobins eux-mêmes; un vil respect humain leur fit étouffer la voix de la nature et de la conscience. Voici le récit fidèle de l'intP.rrogatoire et de la mort violente du défenseur de la foi, récit que nous ont com– muniqué des témoins irréprochables, sur ce fJU'ils ont vu et ce qu'ils.ont entendu. Sept novembre mil sept cent quatre-vin~t- e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (1)

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