Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome premier

( 270 ) de ]a justice divine, que l'on n'a pu contes1e1· sur les lieux, c'est que presque tous les dé– nonciateurs de la vénérab1e victime sont morts misérablement, et de la manière la plus ef– frayante; il n'en reste plus que deµx d'exis– ta11s : nous formons des vœux, avec les pieux habitans de ces contrées, pour leur conversion sincère! A fin de leur inspirer, ai 11si qu'à tous nos frères égarés, une frayeur salutaire, nous leur adl'esserous ces paroles de saint Augustin. Ostendit... . .. Deus sœpè ttinm in lzis (bonis t~mpo- ral1bus) distribuendis widenti1ls opPmtionem suam; nam si nunc omne peccatum manifistâ plecteretur pœni1, niltil ultimo judicio reservari pularetur: rursùs, 11i nultum peccatum nunc puni rel npertè Divinitas, nulla esse Provid.:ntia divina crederet1ir. Aug. de civitata Dei, lib. I, c. VIII. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (1)

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