Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome premier

( 215 ) IÎe1me, dans sa cinquantième année, vient de co11cp1érir la couroirne immortelle. Iloooramus .wnè m cmorias corum, lanquam sanclo– /'1011 1.-om in um Dei, qui. usq11e ad m ortem co1por111n .'l/Orum pro 1H>rilat.:: cPrtâr11nl, ul innotcsceret vera r'e– ligio ,.fà!.;ù ffrtiStjll<" convfrlis...... Dt ea celebritate et I!eo v"ro de illvrmn victorii• gratins agamus, et llQ-' ad ù~1ita1ion,?n1 talium coronnrum atquc.palmarion. codcm Îll!'.OCnlo in au:r:ilium , i/lorunz mcmoriœ renovatione adlw11t?11wr. Aug. de civ. De[, lib. YIII, cap. xxv11. Momi•~ur n'Elt \ILI~ , jés,uiH• de la province de Pari&; gu,illotiné à Paris, au moi$ de décembre,1793. CECI' homme de Bien étoit jésuite de la pro– vince de Paris, lorsque le parlement de cette métropole dit royaume, après avoir dissou~· la so~iété dans son ressort, porta la peine d'exÜ contre ceux de ces religieux qui n'abj ureroient pas l'institut et le régime qu'avec l'expresse ap– prohaliou de l'Eglise ils avoient eu le cou'r:rge· de vou er aux pieds des saints autels. :Fidèle à d'aussi saints engagcmens, il se fit agrége·r à la province d.e Champagne, qui possédoit encore e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (1)

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