Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome premier

( 210 ) Sœur M.u11E' LHUILLlER, nomrtiée en religion Mo– niqrœ, sœur convl'rsë <le l'hos1ike de ·la Miséricorde de Jésus, Hôtel-Dieu de Clràteau":Gontier; gui!loti· née .à Laval en j.ui11 1793. ·A·P'ttÈs le 5acerdoce d'Aai·on, rései·vé aux en· fans 'de :Lévi; après le sacerdoce selon .for'- 8-re ·d'" l\'folchisétlech, et auquel peuvent stitJ)s p:rétendre les pontifes et les prètres ·institués par Jésus..:Christ, s'élève comme :tm troisième saccl'doce, cèlui de la charittbnagnanirne des -<ipôüses ·du -divin Agneau; elles n'ont pasr~ l'avoue, les droits sacrés que con füre Je" nü- nistère évangélique; mais cHes en 1part<ige11t -la gloire par leur sublime dé-1ouen10nt au bonheur de leurs frères. Marie LnumirnR, née à Arquenay, diocèse du Mans, fut dan• le monde un modèle de ·ferveur, et dans ·le cloître, celui de la compassion la1 plus e.xpan– sive et la plus généreuse. Partout l'humble vierge répandait la bonne odeur de Jésus– Christ. Sous le nom de Monique, elle était devenue sœur converse de l'ho>p1ce <le la :Mi- e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (1)

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