Guy Carron : Les confesseurs de la foi dans l'église gallicane à la fin du dix huitième siècle : tome premier

( J 2;) ) ment que son curé lui avoit donné. Elle achève de l'assommer avec une bûche. On dit encore que, par son testament, trouvé dans une de ses poches, et ouvert à la section, il avoit fait un legs aux pauvres de sa paroisse. De respectables personnages nous ont assurés que son princi– pal assassin vit encore, et qu'il est parvenu à une longévité aussi honteuse qu'elle est recu– lée. Ah! puisse-t-il enfin, touché des vertus de sa victime, intercéder près d'elle pour son par– don·! Elle l' obtien<lroit sans doute. Cantate Domino, lm1dnte Dominum, quia liberavit a1ûmam paupcris de manu malorum. Jerem. xx. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_74 (1)

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