Gassier, Jacques : Observations sur la véritable constitution de la Provence, au sujet de la contribution des trois ordres aux charges publiques et communes

CHAP. II. PART. 1. (93 ) on encore qu'ici le fort em1vortoit le faîble? Mais 1 0 • tel é\:oit le principe de tous les teIns, & dans les conjon8:ures les plus tranquilles; ce trait' fe ren– contre, non feulelnel1t dans les Délibérations des Etats, ll1ais encore dans les Affetnblées des COIU- lTIUneS où les Nobles ne paroiffoient pas, & dan. IefquelIes la force des fuffrages étoit entiérelnent co. centrée fur la tête des repréfel ta", s du Tiers- Etat. Ainfi, les preuves d_ la prérogative féodale fartent avec autant d'évidence que de force des Erats & Délibérations dont on voudrait faireufa54e ~ contre la Noblefre. ~~ous n'avol1s pas befoin de dire que toutes les autres Délibérations qu'on n'a pas relevées dans les Mé-l10i -es faits pour le Tier – Eta t, r ejet t en t li nif?r nI é 111 e 1 tau t 1e . r) i 1"1 C' cl el' ir – pôt réel fur les feux & les rotures On a dit que les E L~t de 1596 ne jôrzt }1 QS al~Ol Ibid, p~g< 3 ~. fatisfaifans. On dirait à ce trait q le 1°3 biens 110bles avaient contribué dans les ten1S qui préce r eJlt. 011 vient pourtant de voir le contraire. Il eL! vrai que dans ces Etats de l S9 6 , 1'Alli.ff ur (1) relnontr~ q e les extrêmes néceJJîtés du Peuple reql ierent l'aide - (J) Etats tenus à Aix en Janvi r 1 569, page J 44. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_007

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