Gassier, Jacques : Observations sur la véritable constitution de la Provence, au sujet de la contribution des trois ordres aux charges publiques et communes

( 274) ~~~ provifoirel ent [u . 1 bafe de' vingtie ;-J le n'en PART. II. tIr. . r E · . a pour ant as vou Ur la~r ulag. ~ t n CI1AP. XIII. offre, tout C01111ll fi lès individus pa ta ~oient le profits iretts & p rfonnels du..,.. ca1111nerce, qui ne fo~t perçus que par le~ 'membres du troifielne Ordre. Devait-on dire dans' ces circonfiances, que la No– bleife d Q Provence a reçu des exelnples dont elle auroit du profiter? Le prelnier & le plus beau des. exelnples, e venll d'elle. Elle l'a donné, d:lns un teIns où tous [es droits étoient contefiés par un Inouvelnent cl' effervefcence dont Jes gerlnes avaient été jettés dans le troifielne Ordre. Elle aurait été la prelniere à delnander l'abolition des corvées, fi elles avaient exifié. Natre Confiitution, qui les a canflalllinent réprouvées, l'en a difpenfée. La 0– bIeHe de toutes les Provinces a fait de~ facrificeg fur les chen1Îns. Celle de Provence a fait les pre– Iniers & les plus grands, puifque la Confiitution du Pays lui donnait le droit inconteftahle de rejetter fur les feux cet objet de dépenfe. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_007

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