Gassier, Jacques : Observations sur la véritable constitution de la Provence, au sujet de la contribution des trois ordres aux charges publiques et communes

( 162,) ~~~ auX Vingtietnes. Il y avoit été dit qu'elle ne pour PAR • II. roit être étendue à d'autres ob)· ets. Quand en .17 82 c: .a.AP. ~1 .. 1 Nobleife avait accepté la cotité d'un vi gtielne p-our fervir cl' état provifoire, en attendant le Ré– glelnent définitif, ce n'avait été qu'avec la plus grande répugnance, & en exigeant encore la Inêl claufe, que cette cotité d'un vingtielne ne tir~roit pas à conféquence. O~ [avait bien que fi la Ina– tiere avoit été difcutée, COlTIlne elle aurait dû l'être entre les deux Adtninifl:rations , la N oblelfe, en con– [entant à donner un fecours pour la reconfiruaion du Palais, n'aurait pas accepté la cotité d'un ving– tielne, qu'elle regarde C01TIlne très-injufie, & qu'elle n'avoit acceptée que par. condefcendance, & parce qu-e les Adnlinifirateurs des feux abandonnaient les arrérages, lors de l'arrangelnent intervenu [ur l'a– bonnetnent de l'ilnpôt fur les huiles. - Au Inoins. le dernier état était pour la cotiré d'un vingtieme. La Nobleffe fut offenfée, tant du pro– cédé, que de l'injufiice qu'on voulait lui faire, en appliquant à la confiruaion du Palais la cotité fixée fur les Vingtielnes, fous le joug de laquelle elle eft écrafée. Elle était au InOlnent de detuander qu'il fût procédé tout de fuite aux opérations conjait tes de l'affiorinelnent & de l'affouagelnent. Ce lTIOUVement e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_007

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