Gassier, Jacques : Observations sur la véritable constitution de la Provence, au sujet de la contribution des trois ordres aux charges publiques et communes
(18) ~~~ était délibéré, tout é'toit réglé par les Prélats &. PART. 1. les Nobles; & s'ils donnaient des fecours en argent, GHAl'. II. ne les prenaient-ils pas fur leurs ~ jets 0 Vafiaux taillables, [oit à volonté pour la plupart', foit pour les cas où le Seigneur avoit quelque dépenfe ci faire Voyez !es & quelque fOllllne à fournir? Qui ne fait que la Commental- tes [ur les taille feigneuriale, d puis réduite par les Ar Aêts aux Coutumes, au fujetdt's b~ens quatre cas impériaux n'a pas eu d'autre obJ' e dans {adJabJes a. la , di[cré:ion & l'on origine? voulOIr des 14 , ~~~n:rsb~s J Mais ces confidérations font trop générales pour ~ 'Volomé.. • la que!tlon. Rapprochons-nous de nos tItres locaux, & voyons s'il eft vrai, fi mênle il peut l'être, que dans la prelniere époque, cOlnprenant depuis la naiflànce de nos Fiefs, jufques à l'année 1406, les Seigneurs ont toujours cOl1tribué par le double fervice ll1ilitaire & pécuniaire. On nous oppo[e les Etats de 1374, ceux de 1390, de 1394, & de 1404. 011 croit y trouver des preu– ves de la co-ntribution forcée des Fiefs, quant au recours en argent. Nous demandons d'abord ce qu'on a fait, foit dans les ten1S antérieurs, foit dans les teIns inter– lnédiaires depuis 1374 jufqu'à l'époque donnée de 1406.. La Nobleffe, repréfentée par les Fiefs, a donné quelquefois des fecours , Inêlne en argent, dans e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_007
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