Auteur : TitreAbrégé du recueil des actes, titres et mémoires concernant les affaires du clergé de France ou Table raisonnée en forme de précis des matières contenues dans ce recueil divisée en deux parties

• '1701 V 1 S 1 T E. 170:. venr en faicè l'objet. T. VII.p.14.& faiv.. IV. Entretien des tglifas & rlpardtions dos Les réglemens de l'affemblée de Melun , prts6yures• .pour la plupart, ont éré renouv.ellés par los Voy.C?..Eglifos , §. lY .. Pre~6yctres , n. L conciles de Fnnce qui onr été tenus depuis; par le concile de Rheims, en 1583. par celui ile Bordeaux de la mêm.e an1u'e; par celui :de Bourges, en 1584. par.celui d'Aix en 1585. ~r celui· de T ouloufe, en 1590. par celui de ;Narbonne, en i609. T. VU. p. 20.j,,fq. 37. . De m<:<ne que dans les decrets du concil.e .deRoueo,en 1581. T.VU.p.140. 141. 142. . Er dans les docrers diJ 'oncile de So:Cfons., ~ 1744. du fecond concile de Châlons, en 8 13. du concile de Paris , en 83 1. de .celui -de Sens, en 1485. & dans l'extravagante de .Bénoît XU. T. V,II. p. 165. & faiv. . Ces di(pofitions, po<1r. la.plupair, font .co111p.rifes dan.~ un extrait des arrêts_& .régle– mens du parlement de DJuphiné , recueillis par.kan Il.1ffet. T. VU. p.143. & fuiv,,. Elles fom rappellées dans les ~n. i6. 17. 18. 21. 22. de l'édir de 1625. T .. Vl.pag. ~31. 232. 233. 234. 1-35. Tom. VU. pag. 53· 54· 55· §. lV. Etendue du pouvoir de l'ivéqu'e dans fa vijite. Avant que d'entrer en matiere, on pro– pofe une quellion imporcame..Les évêques dans le cours de leurs vifires, peuvent-ils entreprendre de réformer dans.un lieu, ce qui ne peur y êrre réformé dans unfeul jour, & y auroir·il fondemeor de fepourvoir par appel comme d'abus , s'ils y .demeuroient plufieurs jours pour finir ce qu'ils auraient commencé? Les conciles, qui font dofen· fcs aux évêques de demeurer plus d'un jour dans la vifire d'une églife, ont donné lieu i ceue quellion ; mais ces décrets n'.ont pas éré faits pour limirer en cela le pouvoir des évêques , mais feulement ?OUI les em– pêcher de ruiner les églifes qu'ils vifitoient, en y demeuranr plufieurs jours 1 & fi un évê– que n'ell point à charge aux églifes, il ne fait rien qui fait conrraire à l'efprit de ces conciles, en demeurant plufieurs jours dans un lieu , pour y être plus utile. T. VU. pag. 148. 149· I. S.,int SQcremtnt de tauul & ce qu, le conctrnt. Voyez Euc!i<Jrijlù, §.II. U. Revenus des fahriquts. Voyez. Fabriques , §. V. m HôpitAu><. Voyez Hôpitdu><, §. l. V. BanCJ & Sipultuus, Voyez Eglij<s , §. IX. V,J. R.l1111ion des égllft& ru.iUot , .dUJt .pA- . roi/fts. - Voyez,Eglif.,,, §.1. ' 'VII. f:tlih!iffetnetrt li'un ficondatre. Voyez Vi<1JireJ. VIU. Maltrts d'écolt1, Voye.. Ecoles• ·§. V. Droit de correllion , · danJ la vifiu. Voyez Correilion ~ "§. Ü. • . . §. VI.· Eglifes , lieux & peif'onnes fa– . jeu~~ à_ l"' 1•ifite de l'évêque. l. Etlifos pdroi/fi•le.s ou cures, 1°. C'ell une difci~line érablie fur les d- Ocreis:duconcile.de Trenre, fur les conci– ,Jesi:l:·Milan, &c. & futlesdéci1ions des Pa– .pes , fur la iurifprudehèe iles arrêts•& fur l'.arr. •S· de·t-t<ditdé r695. que roures fones de cures ou tfglifes paroiff-,ales polfédées par des féculierS<>U réguliers, dépendanres des .corpseicemprs ou non, fituées dans les mà– nafler.!s ou abbayes, même chcfs·d'or.<fres, font fuie•res ·à ·lit-vifire tle l'év&tiue diocé– fain. Voyèz fur- cette mariere le commen– tair_e de·l'anide" t.œ. du r~lement des ré– -guhers, dreflê en 1645. 'f. VI. p. 1519. & fi1iv. 2<>. Quant.aux cures deffervies & poffé– dées par des réguliers : les évêques peuvent vifiter par eux ou par leurs archidi:Jcres -&·a.u– tres eccllfwjliques , ce/les dont les curés feront religieux. Ce fondes rermes·de l'anicle 15. de l'édit de 1695. T. VII. p. 51. ·Jo. A l'égard des cures dépendanres <les chapitres : les /,,·lquts pourront au/fi par tux– mêmts ou par leurs archidiacres , &c. vijittr lts lglifts paroijfia!ts , où les ch11pitres prl– ttndent avoir droit de · vifiu. . Arr. 15. de l'édit de 1695. lhid• . Suivant Je décret du cnncile de Trenre foj{. 24. cap. 3· de rtf les chJpitres qui ont droit de vifüe dans des églile> de leur dé– pendance, doivent nominer des vifiteurs gui ne pourrontpourtanr procéder à ces vi– iires , qu'après avoir éré approuvés de l'é– vêque, lequel a droit, ll)algré cela , de vi– firer lui-même, ou·par fes·v;cairet géné– t.aux , ou au~res , les mêmes églifes , & de (e faire préfc:ntec' les procès-verba11ii: des Ppppp ij http://e-mediatheque.mmsh.univ-aix.fr/ [YM-54-14] Corpus | Histoire de Provence