Michel, Joseph-Etienne : Histoire de l'armée départementale des Bouches-du-Rhône, de l'entrée des escadres des puissances coalisées dans Toulon, et de leur sortie de cette place|précédée d'une introduction sur l'origine des troubles du Midi, sur leur durée, et les moyens de les faire cesser

( 2) onl11e ça à -- c t re beaUCOllfJ e a on lallce Il '011 avait cl . le trou11e5 qlli 'taien dé "à à A · gnon. De fortes escadres enllemie cro·saiellt de 118 la Méditerranee, et arrêtaie 1 les navires qui apI)ortai nt du bled. 0 parla, pour la pren1ière fois, d ns le comité secre du conli tÎ~ gén', raI, cl 'ill viter c s escadres à tie pas interce(-lter les 11leds de tinps pour Marse -Ile; nlai cette pro Josition n'eut pa de suite; et parce que la di"ette ne se faisait pas se ir encore d'une Inânière sensible, e parce qu'on se méfiait trop des Anglais. On ne les voyait pas volontiers si près (te d'Or- éalls, qui, COlnme je J'ai déjà observé, avait été COl1duit par ordre de la convention dan les forts de l\larseille. Ce n'est pas qu'on craignit qu'il fût élevé au trô11e. On savai bien que 1'Angleterre se jouait et des club et de d'Orléans, qll'elle visait~ au dépecelnent de la France, de ce colosse. qui tOlJjour arrêta son' insatial)le aml)ition. On était bien persuadé que l'Espagne ne se prêterait jamais à faire un roi de cet homme dont le nom selll fai ait frémir cl 110rreur; mai 0 ~1 craignait un l ou CInent en sa faveur de la part des clu aciers t soudO. 7 ')8, et des 11la.f~nequills allX" e vait fait croire qu'il fallait u e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_223