Michel, Joseph-Etienne : Histoire de l'armée départementale des Bouches-du-Rhône, de l'entrée des escadres des puissances coalisées dans Toulon, et de leur sortie de cette place|précédée d'une introduction sur l'origine des troubles du Midi, sur leur durée, et les moyens de les faire cesser

( 45 ) 11bvenir à (les besoins pressan~. Je me hâta le llli prêter, dans la double vue d'être utile à Dla patrie, et de placer solidement mon apital. Je vis, avec joie, mon hypoth' que ~'accroître par la réunion des biens dll clergé et des éJlligrés au domaine national. Depuis ong-tclTIS je ne suis pas payé. Les be oins . e la répuhl- que e igeaie11t cette pri ratiOl1. e la supportais avec plaisir. Mais cil elle a été ma dOllleur, fllland j'ai vu soumissionner our cent mille francs de papie s, qui valaiellt à peille deux Inille francs effectifs, un do– Inaille qui produisait en 1789 douze millQ ranes de rente, et qlland j'ai vu sur-tout le oumissionnaire ,dé la première semaine dœ sa prise de possession, vendre pour quinze 01 vingt mille francs en numéraire, des arbre~, es bois dl1 itomaine , ou de fer du bâtiment, ., . . . {Ille J al vu enSlllte cet acqllérellr regorgean e tout, tandis (lue je malIque de tout. Lé gi~lateurs! je demande pour l'intérêt de l'état et celui des rentiers, que les biens nationa 1.. t r lescluels j'ai (les droits à raison de n10 . ypothéque, soient 'Tendu leur valeur en es .eees réelles, et qll' on revienne sur les ven e air-es en val~llr inlagirlai"~es. Ainsi a jl.l t· . nl h ra e droi J l'~ al-t', ~ e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_223