Michel, Joseph-Etienne : Histoire de l'armée départementale des Bouches-du-Rhône, de l'entrée des escadres des puissances coalisées dans Toulon, et de leur sortie de cette place|précédée d'une introduction sur l'origine des troubles du Midi, sur leur durée, et les moyens de les faire cesser

J; •. "ellel" ar un décret ~ 'ructidol ev u , co "r.ibé , tronqué et augmenté] 2 ven éIniai e d'après, en attendant la E· meus ·Ollrnée du 13, qu'on prépare. Quoique dans le monlentque j'écr·s, MalI it fait un rapport, où il conclud à dell1ander • tration centrale des Bouches-du-Rhôrle, s'étaient d·ssé Ininés sur les divers points du département, avec de division, de la force armée, et attelldaient hUll1blelnen es ordres de Paris. Ils retournèrent à leur poste à l'ad– ministration, et renvoyèrent la force arlnée dans ses foyers, quand la nouvelle arriva que la conspiration avait été découvert€, et les conspirateurs arr~tés. Je crois bien que ces adlninistrateurs n'étaient pas dans le secret; on ne leur faisait pas tant d'honneur. Je veux bien croire aussi que s'ils avaient connu l'objet de leurs opérations, jls ne s'y fussent pas pr~tés. Mais cela prouve, au moins, que cette aveugle docilité à suivre les ordres d'lune faction, ann011ce de pitoyables manne quins, infilliment dangeretlx par cette docilité Inélue. Au reste, ce rapport de Courtois, qui annonce un grand_e érudition dans son auteur, est précieux à tou égards. Les lettres fIu'il cOlltient, après avoir fait éprouver la plus juste indignatioll contre les patriotes purs qui les écriyaient, par le tOll bas, flatteur, ralnpant, qu'il etnployaient envers Robespierre, couvert de sang, prou– vent d'une lnanière SaJlS réplique, que ces adorateurs cl Marat sont bien les êtres lei plus vils, les plus Inépl i aJ"le €\ lis plus atroces. .. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_223

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