Michel, Joseph-Etienne : Histoire de l'armée départementale des Bouches-du-Rhône, de l'entrée des escadres des puissances coalisées dans Toulon, et de leur sortie de cette place|précédée d'une introduction sur l'origine des troubles du Midi, sur leur durée, et les moyens de les faire cesser

( 164 ) présen a s dll 11e le, (lui ne les avait pa élu pour l' sassiner et pour couvrir de ruines et de larmes le territoire u'embrassait leur ommi ôÎOll , firellt p 'rir lus de 5ix cents ersonnes, leur propre aveu consigné dalls des impri és entre Mo:,se Bayle et Fréron, qui s'accL sent récipro _ ement <le vandalisme. Fusiller les nlarins ! cl s hommes q li g'é– taienst le plus fortenlent opposés à l' elltrée des anglais dans rrOUlOll, des 110m es dont les connaissances en navigation pOLI aient nous être si utiles! car OUlon était Ulle pé– pillière cl' e~ cellens marins dans tOll les gen... es. La con ention les a presque t Ils fait assas iner, et encore Couthon n'était pas COI1-. lent; il voulait brûler Touioll (2.1) . On a vu qu'il n'y avàit plus d'ennel11Îs quand Cervoni est entré dans Toulon, que depuis plus de quatre hellres la place était abandonnée. On re larqllera dans la ettre de sir Sidne·y Smith, à l'alniral Hood, que dès la matillée du 18, les ouvriers du parc ava· ent déjà substitué la cocarde triGolore à la cocar e blanche. D'après cela, il est fne' e de . uger que le prétexte dont on a voulu cou rir les (21) apport de Courtois sur Bobespierre , p, 226. e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_223

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