Michel, Joseph-Etienne : Histoire de l'armée départementale des Bouches-du-Rhône, de l'entrée des escadres des puissances coalisées dans Toulon, et de leur sortie de cette place|précédée d'une introduction sur l'origine des troubles du Midi, sur leur durée, et les moyens de les faire cesser

III x ou spa b 1 l, lui rCI ] dit sur sa t"t.., q l'il ell1 êcherait les fraL·,~ .. is te ~'y ét 1,·· . _ 11 r tout ~ ré i.·1 ,l'al j rI] li i 0 ~ cl 01 rla cl c r esc ~ are al" ai e. e "a lt cl é t ~ i t ho r s la i en F --al ce. Il ~ l.,éit. tenir clevaÎl 1 .l , 1.1 Le f (l11 ~,ai ne pr"r 'nt l)e S _oss~ssîon Cll r"l\ l (1 C<11 , pa.'"ce Ille ce I)O,-:t dOlnine elJ. t: .. fi J.l1e lt la rade. Ils Ollvaient ~iverrlellt jn qlli ~ter ~e la le~ coaàisés dans letlr sortie. 01 serlt b~CI- q"l 'il était couve ... 11 qLl'ils ne seraien pas tra u't l '\5. IJe Clip de CL "tl0n tirés de autres I)OS es étaient cIe Ill! e forl le. Ils Ile portaient pas all nlilieu de "la rade. L'elTI JarCluell1erlt, à onze Ileures du soir, des trol1fJes q'ui avaient t~nu Tc 10]1 toute la ~o,-lr11 ~e, et de celles du fort Laillalgue, fut la ~g et ttln111ltueux. La nuit éta·t obscure. L::,5 solcluts appelaient les c "alOll Jes de leur l1atioll. Comnle ils criaient tous à la fois, on ne s'entendait IJâs. Les cllalo"~ pes Il'avançaiell l)as. Cette criaillerie, ce vacarnle dllra pre de trois heures. Le silence de a n it les IJOf ait au loil1. Les français le ~ entendirent; ·1 ~, e bOllgèrent pas. Ils pouvaient couper cet e 111 arcIllement. es français ne pOll,'aien e-Médiathèque | Histoire Provence | YM_223

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